Interdiction de Rouler ? Les 5 Villes Françaises Qui Durcissent Les Règles des Trottinettes!
Les trottinettes électriques ont gagné en popularité en France, mais avec cette croissance, des villes ont commencé à durcir les règles pour améliorer la sécurité et la cohabitation avec les piétons. Dans cet article, nous allons explorer les 5 villes françaises qui ont mis en place des réglementations strictes concernant les trottinettes électriques, et voir comment ces mesures visent à rendre les déplacements urbains plus sûrs.
code de la rue et trottinettes
Depuis le 1er septembre 2023, les trottinettes en flotte libre ne sont plus autorisées dans l’espace public parisien. Cette décision a été prise pour apaiser l’espace public et désencombrer les trottoirs et les rues. Les zones de stationnement qui leur étaient dédiées ont été transformées pour augmenter le nombre de places pour vélos[4]. Cette mesure est une étape clé dans la politique de la Ville de Paris pour donner la priorité aux piétons et aux cyclistes.
règles de circulation
Les trottinettes électriques sont interdites sur les trottoirs, sauf si elles sont non motorisées ou si une autorisation locale spécifique est en place. Cette interdiction vise à minimiser les risques d’accidents impliquant des piétons. Les conducteurs de trottinettes doivent circuler sur les pistes cyclables ou sur les routes limitées à 50 km/h maximum[1]. En cas de non-respect de ces règles, les contrevenants peuvent être passibles d’amendes allant jusqu’à 135 € pour l’usage sur le trottoir et jusqu’à 1500 € pour une circulation à plus de 25 km/h[1].
sanctions et mesures de sécurité
La Ville de Paris applique une tolérance zéro pour les infractions sur les trottoirs, y compris le stationnement et la circulation. Les sanctions incluent des amendes et des verbalisations pour les cyclistes en infraction. Les zones de stationnement dédiées aux trottinettes sont transformées en places vélos, et le développement des rues réservées aux vélos est poursuivi avec un accompagnement pédagogique sur leurs règles d’utilisation[4].
2. lyon : la ville de l’interdiction totale
zones à faibles émissions (zfe)
Lyon est l’une des villes françaises qui a mis en place une interdiction totale de circulation des véhicules Crit’Air 3, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 dans la ZFE lyonnaise. Cette mesure vise à améliorer la qualité de l’air en réduisant la circulation des véhicules les plus polluants dans les zones urbaines denses[3]. Bien que cette mesure ne concerne pas directement les trottinettes électriques, elle montre l’engagement de la ville pour une mobilité plus durable.
règles de circulation des trottinettes
Les trottinettes électriques sont soumises aux mêmes règles que les autres engins de déplacement personnel motorisé (EDPM). Elles ne peuvent pas circuler sur les trottoirs et doivent utiliser les pistes cyclables ou les routes limitées à 50 km/h maximum. En cas de non-respect de ces règles, les conducteurs peuvent être passibles d’amendes[2].
3. grenoble : la ville des restrictions similaires
zones à faibles émissions (zfe)
Grenoble a mis en place des restrictions similaires à celles de Lyon, interdisant les véhicules Crit’Air 3 en permanence. Cette mesure vise également à améliorer la qualité de l’air en réduisant la circulation des véhicules les plus polluants[3]. Comme Lyon, Grenoble n’a pas de réglementation spécifique pour les trottinettes électriques, mais les règles générales pour les EDPM s’appliquent.
règles de circulation des trottinettes
Les trottinettes électriques doivent respecter les mêmes règles que les autres EDPM. Elles ne peuvent pas circuler sur les trottoirs et doivent utiliser les pistes cyclables ou les routes limitées à 50 km/h maximum. En cas de non-respect de ces règles, les conducteurs peuvent être passibles d’amendes[2].
4. lille : la ville de l’extension des zfe
extension des zones à faibles émissions (zfe)
Lille est l’une des villes françaises qui bénéficiera de l’extension des ZFE. D’ici au 1er janvier 2025, toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants devront instaurer une ZFE si elles dépassent les seuils de pollution recommandés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS)[3]. Bien que cette mesure ne concerne pas directement les trottinettes électriques, elle montre l’engagement de la ville pour une mobilité plus durable.
règles de circulation des trottinettes
Les trottinettes électriques doivent respecter les mêmes règles que les autres EDPM. Elles ne peuvent pas circuler sur les trottoirs et doivent utiliser les pistes cyclables ou les routes limitées à 50 km/h maximum. En cas de non-respect de ces règles, les conducteurs peuvent être passibles d’amendes[2].
5. bordeaux : la ville de l’engagement pour la mobilité durable
engagement pour la mobilité durable
Bordeaux est l’une des villes françaises qui s’engage pour une mobilité durable. Bien que la ville n’ait pas de réglementation spécifique pour les trottinettes électriques, elle applique les mêmes règles que les autres EDPM. Les trottinettes ne peuvent pas circuler sur les trottoirs et doivent utiliser les pistes cyclables ou les routes limitées à 50 km/h maximum[2].
sanctions et mesures de sécurité
Les sanctions pour les infractions concernant les trottinettes électriques incluent des amendes allant jusqu’à 135 € pour l’usage sur le trottoir et jusqu’à 1500 € pour une circulation à plus de 25 km/h[1]. Les villes françaises s’engagent également à sensibiliser les utilisateurs des trottinettes à l’importance de respecter les règles de circulation pour assurer une mobilité urbaine plus sûre.
Les 5 villes françaises mentionnées dans cet article montrent un engagement clair pour une mobilité urbaine plus sûre et plus durable. Les réglementations strictes concernant les trottinettes électriques visent à minimiser les risques d’accidents et à améliorer la cohabitation avec les piétons. Les sanctions pour les infractions sont claires et bien définies, encourageant les utilisateurs à respecter les règles de circulation. En résumé, les villes françaises qui durcissent les règles des trottinettes électriques contribuent à créer des environnements urbains plus sûrs et plus respectueux de tous les usagers.
Après une carrière prometteuse en course automobile, Benjamin De Dounois a pris un virage surprenant en se réorientant dans le génie civil. Fort de son expérience sur les circuits, il apporte aujourd’hui son expertise dans le domaine de la construction, où il continue à relever de nouveaux défis. Passionné par le monde de l’automobile, il partage également ses connaissances à travers des interventions et des collaborations avec diverses marques du secteur.