Vous avez une moto de plus de 450 cm³ ? Félicitations, vous êtes riche, selon ces députés !
L’augmentation de la TVA sur certaines catégories de motos suscite de vives réactions. Les députés de la France Insoumise (LFI) proposent d’élever le taux à 33 % pour les motocyclettes de plus de 450 cm³, qualifiées de produits de luxe. Ces motos, telles que la Honda 500 NX, la Kawasaki Z 650 ou la Yamaha MT-07, sont pourtant abordables pour de nombreux motards. La proposition fait partie du projet de loi de finances 2026 et s’aligne sur la taxation des voitures de luxe, des jets privés, et même des produits de haute horlogerie et joaillerie.
Une taxe surprise pour les motards
Il peut sembler étrange qu’une taxe soit imposée sur certaines machines parmi les plus accessibles du marché, telles que les motos de 600 cm³. Ces modèles sont particulièrement prisés par les moto-écoles ainsi que les jeunes motards détenteurs du permis A2. Cette situation semble éloignée des clichés de richesse incarnés par les millionnaires en Lamborghini.
Adoption rapide de l’amendement
De manière inattendue, l’amendement, déposé le vendredi 17 octobre, a été adopté dès le mercredi 22 octobre. Les députés derrière cette initiative affirment vouloir lutter contre la pauvreté tout en constatant que les riches continuent de s’enrichir. Selon eux, les motos de plus de 450 cm³ appartiennent à un secteur du luxe aux marges particulièrement élevées, et doivent donc contribuer à la solidarité nationale.
Il demeure à voir comment cette mesure, et le projet de budget plus global, évolueront. Le rejet du projet entraînerait la disparition de cet amendement controversé.
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Les motos de plus de 450 cm³, une question de fiscalité
Les députés de gauche (LFI) classent les motos de plus de 450 cm³ comme des produits de luxe. Leur proposition a surpris les motards : une augmentation de la TVA à 33% sur ces véhicules. Cette initiative pourrait avoir des répercussions importantes pour les amateurs de motos puissantes et les professionnels du secteur automobile.
Ils estiment que cette taxe pourrait, en théorie, dissuader l’achat de véhicules à forte cylindrée, tout en générant des revenus supplémentaires pour l’État. Toutefois, cette mesure a suscité de vives réactions parmi les motards, qui perçoivent cette décision comme une atteinte à leur passion pour les deux-roues.
Dans cette optique, un équilibre entre l’intérêt public et la préservation des loisirs individuels est nécessaire pour éviter une confrontation avec la communauté des motards.
Après une carrière prometteuse en course automobile, Benjamin De Dounois a pris un virage surprenant en se réorientant dans le génie civil. Fort de son expérience sur les circuits, il apporte aujourd’hui son expertise dans le domaine de la construction, où il continue à relever de nouveaux défis. Passionné par le monde de l’automobile, il partage également ses connaissances à travers des interventions et des collaborations avec diverses marques du secteur.