Les voitures les plus moches du 21ème siècle : 10 véritables désastres design

Certaines voitures, malgré leurs avancées techniques, n’ont pas réussi à séduire par leur apparence. Depuis le début des années 2000, plusieurs modèles aux designs discutables ont émergé sur le marché automobile. Leur look atypique ne fait pas toujours l’unanimité, et peut même être à l’origine de contre-performances commerciales. Cependant, quelques constructeurs ont su rectifier le tir en repensant l’esthétique de certains véhicules, rendant justice à leur potentiel. Pour d’autres, l’absence de modifications a signifié la fin de leur production.
Aujourd’hui, jetons un œil sur ces créations singulières, qui, de par leur design, ont marqué les esprits. Découvrez notre sélection personnelle des 10 voitures les plus insolites du 21ème siècle.
La Suzuki Ignis : un design qui partage les avis
Vue de face, la Suzuki Ignis II ne dévoile aucun détail qui la ferait qualifier de voiture inesthétique. Cependant, c’est en observant son profil, et particulièrement sa face arrière, que les opinions divergent, pouvant lui attribuer un aspect de voiture sans permis. Malgré cette apparence controversée, ses équipements modernes et motorisations innovantes apportent un équilibre à l’ensemble, confirmant que l’Ignis est un véhicule atypique dans l’industrie automobile actuelle.
L’originalité depuis 2016
La Suzuki Ignis, apparue sur le marché depuis 2016, se démarque par son originalité singulière. Ses caractéristiques font d’elle un OVNI séduisant dans le paysage moderne des automobiles, parvenant à conquérir un public bien précis.
Citroën C5 I (2000-2008)
La Citroën C5, bien qu’elle incarne le confort, n’a pas réussi à conquérir le coeur des automobilistes. Dès sa sortie en 2000, remplaçant les modèles XM et Xantia, elle semblait déjà d’une autre époque. Les finitions, en particulier les modèles d’entrée de gamme, laissaient à désirer. Sa réputation a également pâti d’un manque de fiabilité et de moteurs trop gourmands. Malgré cela, 720 000 exemplaires ont trouvé preneur.
Déclin progressif
Avec l’arrivée de la C5 II, Citroën espérait un regain d’intérêt. Cependant, la dépréciation du segment des berlines tricorps en Europe a précipité la fin de sa production en 2017.
Le Nissan Cube : une carrière unique
Le Nissan Cube a célébré une brillante carrière au Japon, et fut même le modèle le plus vendu de la marque en 2003 et 2004. Ce n’est qu’en 2010 que cette auto atypique a franchi les frontières pour débarquer en Europe. Pourtant, malgré sa silhouette cubique, le Cube n’a pas réussi à s’imposer sur le Vieux continent. Nissan a retiré ce modèle de son catalogue en 2013. Un sort regrettable, car son apparence peu commune s’accompagnait de performances tout à fait honorables.
La Ford Fusion (2002-2012) : entre deux mondes
Ni tout à fait un monospace, ni exactement une citadine ou même un break, la Ford Fusion a trouvé sa place dans la catégorie unique des minispaces, similaire à la Renault Modus. Elle se distingue par son apparence inclassifiable : cette Fiesta agrandie procure des performances honnêtes pour un modèle d’entrée de gamme. Toutefois, son allure trop ordinaire a pu freiner son attraction. Pas suffisamment séduisante pour décrocher une seconde chance… elle fait définitivement partie du cercle des voitures esthétiquement controversées.
Mercedes Classe A (1997-2004)
Il ne s’agit pas ici de la Classe A élégante que l’on connaît aujourd’hui, mais de sa version originale, un petit monospace audacieux. Cette première génération de la Mercedes Classe A a marqué les esprits, mais pas toujours pour de bonnes raisons. Elle a connu une mésaventure célèbre lors d’un test de slalom, effectué par des journalistes britanniques, où elle a offert une « sortie de route » mémorable.
Les débuts de cette Classe A ont été difficiles. Son allure peu flatteuse et ses performances de sécurité en question ont laissé une impression mitigée. En effet, cette voiture familiale visait à combiner compacité et espace, mais son design et sa sécurité ont été des sujets de préoccupation.
Malgré ses défauts, cette Classe A a jeté les bases de la popularité de la gamme actuelle, montrant que même les débuts hésitants peuvent mener à un succès durable.
Renault Avantime : l’avant-gardiste incompris
Renault se montre particulièrement présent dans le classement de ces voitures au style discutable. Toutefois, il serait injuste de placer l’Avantime automatiquement dans cette catégorie. Ce véhicule, sans doute trop avant-gardiste pour son époque, n’a pas su séduire le public. Ajoutons à cela son prix élevé, aux alentours de 40 000 euros, qui n’a certainement pas aidé. En parallèle, la Vel Satis, lancée en 2002, a eu un parcours similaire.
Un renouveau inattendu
L’Avantime, malgré sa faible popularité initiale, se distingue par son caractère imposant et confortable. Ce monospace coupé, surprenant mais réel, connaît un regain d’intérêt aujourd’hui, surtout sur le marché des véhicules rares. Sa reconnaissance croissante pourrait bien en faire un futur modèle de collection.
Le développement des caractéristiques techniques
Le châssis arrière de la Modus est repris de la première Logan. Semblable à sa cousine franco-roumaine, ce minispace Renault, aussi long qu’une Clio II, ne pouvait pas uniquement se fier à son apparence extérieure.
Les défis de l’acceptation du public
Le nom de « Modus », censé rappeler la modularité, n’a pas réussi à séduire les acheteurs potentiels. Son format hors du commun et son tarif légèrement élevé ont probablement dissuadé un grand nombre d’acheteurs.
Dacia Logan : un modèle révolutionnaire sur le marché automobile
Initialement conçue pour le marché roumain, la Dacia Logan a fini par conquérir la France grâce à un atout majeur : son prix. À seulement 7500 euros, cette voiture low cost s’est imposée par son accessibilité économique malgré un équipement minimaliste. En effet, la version de base se passait de verrouillage centralisé, de climatisation et de lecteur CD-MP3.
L’impact de Renault sur le marché français
Renault a su transformer les attentes des consommateurs avec ce modèle d’entrée de gamme, offrant une alternative séduisante lors de l’arrivée de la seconde génération. Grâce à ses modèles Sandero et Duster, Dacia s’est solidement ancrée dans le paysage automobile français, renforçant encore sa présence.
L’essor des monospaces dans les années 2000
Au tournant des années 2000, beaucoup de constructeurs, y compris Audi, ont choisi de s’aventurer sur le marché des monospaces. Avec l’A2, Audi a cherché à se démarquer par son design unique.
Audi A2 : une structure innovante
L’Audi A2 présentait une structure en aluminium qui lui permettait de maintenir un poids inférieur à 1000 kilos. Cette caractéristique remarquable n’a toutefois pas suscité un enthousiasme débordant.
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Après une carrière prometteuse en course automobile, Benjamin De Dounois a pris un virage surprenant en se réorientant dans le génie civil. Fort de son expérience sur les circuits, il apporte aujourd’hui son expertise dans le domaine de la construction, où il continue à relever de nouveaux défis. Passionné par le monde de l’automobile, il partage également ses connaissances à travers des interventions et des collaborations avec diverses marques du secteur.